Ainsi, nous pourrions avoir l'impression d'être "ballotés" au gré des événements :
- on rate un examen et découragé on abandonne les études que l'on était pourtant fier d'avoir commencées.
- on exerce un emploi dans un secteur économique en difficulté et l'on vit dans l'angoisse permanente de la restructuration et du licenciement.
- un voyou nous agresse et l'on est pétrifié par la peur, sans réaction.
- nous sommes en conflit perpétuel avec notre enfant adolescent et nous pensons avoir perdu toute influence.
- ...
Pourtant, entre les stimuli et les réponses, nous pouvons intercaler une dimension importante : la prise d'initiative.
Et ainsi décider d'être ou non affecté par un événement, ou encore décider de prendre les choses en main afin de modifier des conséquences qui nous paraissaient "naturelles" ou "automatiques".
Si nous devions un jour être confronté à une bagarre de rue, crier fortement peut nous libérer de la peur paralysante (voire parfois stopper l'agresseur).
S'inscrire dans un cours de boxe ou de karaté renforce la confiance en soi et la détermination, donc la manière de répondre à une agression.
Alors que je travaillais au sein d'une institution financière, plusieurs membres de mon équipe me firent part de leurs craintes de perdre leur travail suite à une fusion récente avec une autre société.
Après plusieurs entretiens, nous décidâmes finalement de mettre au point un plan d'action afin que notre équipe se distingue particulièrement.
Grâce à la synergie de nos idées et de nos efforts nous avions transformé une "angoisse collective" en un processus volontaire déterminé et enthousiasmant.
En fait, entre le stimulus et la réponse, nous pouvons faire preuve de proactivité.
En fait, entre le stimulus et la réponse, nous pouvons faire preuve de proactivité.
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